Avoir un toit au-dessus de sa tête et une personne qui nous y attend [PV: Harkor]

Suite de Ce qu'il y a de bien avec le temps, c'est qu'on ne peut le prévoir

Kali supportait de moins en moins le poids du regard des passants, et
celui du M.S.P. aussi. Elle s'arrêtait parfois de marcher quelques
instants, s'appuyant sur un mur pour se reposer un peu. Pas de force,
pas de courage...elle se dit que ce M.S.P. était vraiment tombé sur la
mauvaise personne pour être son maitre ou maitresse.
« Où… Où allons… Nous…?»
La jeune femme ne prit même pas la peine de lui répondre, trop concentrée pour retrouver son chemin dans l'obscurité de la nuit. Reprenant son périple, elle finit par rentrer dans sa petite résidence. C'était une résidence de personnes modestes, mais c'était quand même assez joli. Ils se trainaient en passant devant plusieurs bâtiments, mais pas encore le sien. C'était-il déplacé, évaporé ce soir en prévision de la venue de l'inconnu? Si c'était le cas, il aurait au moins pu avoir la décence de la prévenir à l'avance! Mais ce n'était qu'un appartement, qui apparut comme une bénédiction pour elle.

Lâchant son pauvre compagnon délicatement contre la porte, elle ouvrit cette dernière, en l'aidant toujours à marcher. Elle avait l’ascenseur en face d'elle, et y déposa le M.S.P., assis dedans.
« Bon, nous y sommes presque!»
Elle avait eu un peu de mal à parler, tant elle était essoufflée par l'effort physique qu'elle venait de faire, et crachait même un peu de fumée. Elle s'était placée de manière à bloquer la porte, se reposant un peu avant de monter à l'étage. Elle rentra finalement entièrement à l'intérieur, et appuya sur l'étage correspondant. Elle posa son regard dans le miroir qu'il y avait: sa chemise blanche trempée et à moitié transparente, ses cheveux complètement lessivés. Comme elle. Soupirant intérieurement, elle s'appuya sur un rebord disponible, et retira ses lunettes un court instant. Deux secondes avant qu'un petit son ne se fit entendre, et les portes s'ouvrirent. Kali bloqua alors la fermeture de celles-ci, et aida le blond à se relever. Elle avait déjà sorti les clés de son appartement, puisqu'elles étaient accrochées avec celle de la porte d'entrée du bâtiment. Un tour. Deux tours de clés. La porte finit par s'ouvrir entièrement au troisième, et elle le fit rentrer à l'intérieur.

Nous passâmes dans un quartier à résidences modestes mais tout à fait jolies. Kali me déposa sur une porte, j’entendais son souffle, ses battements de cœur, elle était fatigué essoufflé… A ce moment mon regard c’étais levé sur le ciel…

« Il recommence a pleuvoir… » Dis-je assez difficilement dans mon halètement…

Une personne de loin nous surveillait, je ne sais pas qui c’est mais elle ne me disait rien de bien… Un criminel attendant sa proie, j’en étais sûre il nous observer pour pouvoir nous attaqué… Surement un de ses violeurs profitant de la faiblesse d’autrui et de l ‘obscurité pour attaqué… J’eu une réaction instinctif immédiat… S’il approche… Je ferais tous malgré mon état pour l’éloigner pour protéger la femme… La femme qui sera ma maitresse, elle m’aide encore malgré la fatigue que je lui procure le male que je lui donne elle continue de m’aider dans ce noir… Elle est faible, elle à facilement peur apparemment, n’a rien pour commander que des défauts pour être un bon Maitre, mais je serais sien, je serais tous ce qu’elle voudras… je serais son M.S.P… Alors que ‘homme en question commençais a venir elle me fit entrée dans ‘immeuble et ferma la porte d’entrée a clefs ce qui fit tous de suite renoncé l’homme

*Pense : Encore un de ces criminels, vauriens…*

Elle me fit entrer dans un ascenseur ou je fus assis à l’intérieure. Quand elle eut repris son souffle elle entra après moi dedans appuyant sur un bouton nous montâmes jusqu'à arriver dans l’étage voulus… Nous sortons de cet ascenseur, elle ouvrit sa porte me fit entré dedans fera derrière elle, puis…

« Désolé… »

Je tombais ainsi d’évanouissement, plus de force transpirant comme jamais peinant a respiré, haletant comme jamais dû a ce gêne, ayant mal partout et la fatigue et cette faim qui me tuer petit a petit…

« Désolé… »
Kali se tourna vers lui, et le vît alors s'évanouir. Paniquée, elle se jeta près de son corps, et usa encore du peu d'énergie qui lui restait. La jeune femme traînait la "petite" tête blonde près de son canapé, l'ouvrit, et le jeta dessus. Elle avait l'impression d'être une meurtrière ou violeuse, balançant sa victime dans un fossé. Elle partit dans sa cuisine, remplir une bassine d'eau et prit une serviette. Elle commençait à réellement s'occuper de lui, s'apercevant qu'il était quand même humain, et non pas un animal errant, qu'elle venait de ramasser dans la rue. Elle le rassurait quand même en lui disant que tout irait bien, qu'il n'avait pas à s'inquiéter. Oui, malgré sa timidité, elle s'occupait de lui comme s'il faisait parti de sa propre famille, comme s'il était son ami. Bien sûr, elle n'avait plus en tête sa demande. Kali s'occupait de lui par simple altruisme, sans penser qu'il pourrait s'en prendre à elle.

La jeune femme leva la tête vers la pendule, et partit dans sa cuisine. L'heure du dîner était déjà dépassée, et elle commençait à avoir un peu faim. Elle ne le préparait pas uniquement pour elle, mais aussi pour le malade près d'elle. D'ailleurs, elle lui faisait aussi une préparation de grand-mère qu'elle avait apprise: un bouchon d'alcool, rhum ou vodka, mélangé avec de l'eau bouillante, beaucoup de sucre et un demi-citron. Tant qu'il la boit encore bouillante, ça le ferait assez transpirer, et sa fièvre tomberait beaucoup plus rapidement. Le sucre reposait déjà au fond d'un grand bol avec deux bouchons de rhum, et un demi citron. L'eau bouillait en même temps que le riz, et elle retourna près de lui:
« Réveillez-vous, je vous prépare quelque chose de bon ».
La petite Kali le secoua un peu afin qu'il ouvre ses yeux.

Je me fis secouais en entendant une voie qui me demandais de me réveiller, je voyais flou, je transpirais. J’étais allongé enfin je pense… Oui j’en suis sûre… Sur un lit peut être allongé, mieux que par terre, mais je suis tous trempé et par la pluie et par ma transpiration, je suis mal et de plus en plus mal à cause de cela…
Tant bien que mal j’essayais d’ouvrir mes yeux le plus possible mais c’étais avec difficulté. En plus de ça, je voyais flou… Une silhouette a coté de moi me secouant et me parlant qui est-ce ? A oui… Ma maitresse… Que me veut-elle pourquoi me secoue-t-elle…

« Réveillez-vous, je vous prépare quelque chose de bon ».

Quelque chose de bon ? M’a-t-elle préparé quelque chose à manger ? Un médicament pour que je puisse me sentir mieux ? J’espère… Je bougeais ma main pour pouvoir celle de Kali, pouvoir la tenir… Mal en point, j’espère aller mieux, peut être que si je dors un peu le lendemain je serais en pleine forme… Surement, sa m’arrive d’être malade et le lendemain être dans une forme rayonnante.

« Q… Qu’… Q… Quelque chose ? »

Parlais étais très difficile, finir ma phrase encore pire, j’espère aller mieux demain que je puisse la servir de toute mon âme et mon corps, mais demain est long, le lendemain est vraiment long trop long… Que je guérisse vite…

« Économisez vos forces.»
La jeune indienne avait posé une main sur son front, bouillant et dégoulinant de transpiration. Elle se leva afin de partir dans la salle de bain, et sortit deux grandes serviettes. Elle allumait aussi le chauffage, et s'entrevit pendant un bref instant dans la glace. Quelques secondes d'hésitations, pour finalement se regarder. Ses cheveux, et sa chemise, avaient souffert. Elle en sortit en refermant la porte derrière elle, et se fit une queue de cheval en chemin. Elle rentrait dans sa cuisine, et préparait déjà deux bols pour le M.S.P.: l'un avec du riz, l'autre avec sa préparation. D'ailleurs, quand elle versa l'eau dans le bol, l'odeur du citron remontait avec la fumée sur son visage. Elle préféra d'ailleurs le lui emmener avant de le faire manger. Elle s'avançait doucement pour ne pas en renverser, surtout que la fumée créait de la buée sur ses lunettes. Elle déposa le bol sur la table, et essuya ses verres. Kali partit alors, les mains vides vers Harkor, et lui retira les coussins, pour les mettre à la verticale. Et là, elle se donna le plus de courage qu'elle pouvait. Elle attrapa chacun de ses bras, et le tira vers elle. Et comme elle l'attendait, il lui tomba dessus. Elle eut un peu plus de mal que prévu à résister sous son poids, mais elle réussit quand même à le faire s'asseoir. Elle se releva, et lui apporta le bol précédemment posé sur la table.

« Buvez tant que c'est chaud: ça aidera à faire diminuer votre fièvre plus rapidement.»
Totalement exténuée, c'est dans un dernier effort qu'elle partit dans la cuisine, et ramena dans le salon deux bols de riz. Elle se rappela soudainement qu'elle n'avait pas fermé sa porte, et soupira longuement de fatigue en y allant. Elle laissa la clé à l'intérieur, ferma les verrous, et mit la targette. La question de la sécurité était vite réglée! Elle retourna cette fois-ci pour de bon dans le salon, et déposa un bol près du blond, et s'écroula sur le canapé, de l'autre côté. Avant de commencer à manger, elle tourna sa tête vers lui, et déclara:
« Évitez de vous étouffer, je ne pense pas être en mesure de pouvoir vous secourir sinon...et ce serait assez embêtant...»
Elle arrangea ses lunettes, et commença à manger.

Je pris les bols qu’elle me donna et buvais puis manger ce qu’elle avait préparé. Je transpire toujours, j’étais toujours aussi mal en point, mais je pense que sa fera effet un peu plus tard… J’observe, je regarde les alentours la maison ou elle habitée. La fatigue commence a m’envahir je pêne a rester éveiller, il faut que e dorme… Après que j’eu fini le repas je m’endormi paisible sur la table ou j’étais, je ne pouvais rester éveiller. Il faudra que je m’excuse demain...

Je fais un rêve, ni beau, ni moche. Je rêve de mon enfance qui n’est pas habituelle avec les parents. Me remémore mon passé, l’on ma élevé comme un militaire, j’ai vécu comme un militaire… Ma première victime, ma première mission… Tous cela me revient pendant mon sommeille, mais je ne me rappelle pas avoir déjà pleuré, mais être amoureux je crois que j’ai déjà eu se sentiment… Qui fut vite réprimander par mes supérieures, l’amour est interdit pour nous les chiens de l’armer. L’amour signifie la mort, mais je m’en foutais un peut ce qui m’avait causé quelques petite problèmes…

Puis ce rêve venant du passé ce transforme au rêve de ma dernière mission… il pleuvait, les orages grondé... Du sang je vois du sang sur mes mains… Ou suis-je ? Ou j’étais pour cette mission ? Une grande maison, des M.S.P partout gisants dans une marre de sang, je suis trempé… trempé d’eau de plus et de sang, l’orage m’effrayer tout en augmentant mon adrénaline. Il est là, celui que je devais capturer devant mes yeux… Je crois que c’étais le seule que j’eus laissé en vie… Puis je me vois le ramener aux flics, et je la voie elle ? Qui sait ? Une femme, une M.S.P comme moi, elle porte une Hallebarde gigantesque… elle est très impulsif, et malgré qu’elle porte des habits d’homme elle est belle… Après que je suis parti prendre une douche ou est-elle aller ? Qui étais t’elle ? Je veux la revoir, je la chercher puis qui est-elle ? Une autre femme… Il fait nuit, je commence avoir trouble, je me sens fiévreux je tombe... Un bonbon ? Une maison… deux bols ? Mes rêves commence à s’embrouiller dans ma tête, mon passé, la M.S.P t l’humaine tous ce mélange dans ce rêve…

Elle mangeait la tête penchée vers le sol, couchée sur le canapé, bien trop fatiguée pour manger correctement. Et puis, soudainement, elle pensa qu'il fallait qu'elle aille prendre sa douche. Mais si elle la prenait, elle serait soit encore plus fatiguée, soit elle péterai trop la forme. Beaucoup trop. Elle s'arrêta de manger, et le regarda. Oui, elle en aurait largement le temps, mais la motivation manquait par contre... Elle commença à renifler, signe qu'elle avait commencé à prendre froid. Elle récupéra son pyjama, et s'enferma dans la salle de bain.
Quinze minutes plus tard, Kali finit par ressortir de la salle d'eau, se sentant beaucoup mieux. Elle avait les cheveux entièrement détachés, mais noués dans une serviette afin qu'ils puissent sécher. Elle retourna dans la pièce principale, et put le voir dormir inconfortablement sur la table. ¤Il a pas un sommeil calme...¤, et commença à arranger le canapé pour qu'il y retourne. Elle sécha le M.S.P. une nouvelle fois, et commença à le réveiller faiblement.
« Hé...Hé..., elle posa ses deux mains sur chacune de ses épaules, Vous devriez vous changer.»

La jeune indienne retourna dans sa chambre pour y prendre son plus grand et large pull, ça lui servirait de haut de pyjama. Ce serait déjà plus chaud et sec que ce qu'il portait.

Un mélange, une bouillie… Plus rien de cohérant, de droit ou de juste tous mes derniers jours ce mélange entre eux pour donné un je ne sais quoi de pas très net… Une femme habillé en Homme discutant avec mon tuteur de l’armer et s’engouffrant dans une gaufre tacheter de sang à la fraise… Un vrai foutoir… Puis un tremblement de terre, dans mon rêve il y’a un gigantesque tremblement de terre parlant d’une vois douce et agréable, mais qui me faisait peur… Pourquoi quelque chose de sans vie peut-il parlais ? Puis rouge, tous deviens rouge sang… un homme enfance de moi, et moi quand j’étais enfant il n’eut le temps de prononcé des phrase et commençais a prononçais mon nom et prénom en voulant m’assassiner après avoir détruis mon escouade que je me réveiller en sursaut… Je le voyais comme ci c’étais réelle, comme ci j’étais impuissant faible, mais cela n’est jamais arrivé, je n’ai jamais eu ce moment dans ma vie… Et j’espère que ce n’est pas une sorte de vision prémonitoire…

« …… »

Je regarde les alentours et je ne la vois pas, ou est-elle ? Puis sa présence me vient. J’arrive a sentir sa présence dans els parages, sa va donc un peu mieux, mais il me faut du sommeille je reste mort de fatigue… Je n’ai surement pas dormi longtemps…
Je la voie revenir avec un grand pull large…

« ??? »

Il semblait vraiment désorienté. Elle se plaça derrière lui, et posa une main sur son front, après avoir dégagé ce qu'elle pouvait de mèches blondes. Sa fièvre était toujours présente, mais Kali savait qu'elle finirait par tomber. Elle posa le pull près de lui, et récupéra une serviette. Sa main était couverte de transpiration, il fallait bien qu'elle enlève toute cette sueur. Elle lui ressécha avec un peu plus de vigueur les cheveux, et en profita pour sécher son front. Ça lui permettait de sécher sa main au moins. Elle en profita pour essayer de mieux voir son visage, en lui penchant sa tête en arrière. Simple curiosité. Elle remarqua enfin ses fins sourcils, la couleur dorée de ses yeux... Elle en profita pour lui poser une question:
« Au fait, comment vous appelez-vous?»
Cela lui faisait bizarre de ne même pas savoir son nom, elle qui n'invitait personne chez elle. Elle en profita pour lui retirer sa veste, et malgré les apparences, c'était pas léger ce bout de tissu décoré! Son poids devait aussi être dû à toute l'eau qu'elle avait pu absorber. Elle la posa sur le dos d'une chaise, que la jeune femme plaça à côté du chauffage. La jeune indienne retourna près de lui, et lui repencha sa tête en arrière, en évitant de le regarder droit dans les yeux.
« Je me nomme Kali »

« Au fait, comment vous appelez-vous?»

« Je me nomme Yu’mikor DevilsCry… »

Je lui avais donné mon véritable nom complet, celui que seule deux personnes au monde connaissent. Moi et à l’époque de mon enfance mon tuteur, qui fut tuer la guerre, puis maintenant moi et elle… Vu que je lui donnerai fidélité dans le devoir de mes fonction et que je la servirais jusqu'à mon dernier souffle je devais le lui donné a celle que j’ai choisi comme maitresse et qui ne me repousse pas comme els autres a cause de ma top grande puissance, qui pourrais se retourner contre eux… D’après des murmures…

« Je me nomme Kali »

Kali ? C’est jolie comme nom, mais elle n’est as de cette Empire ?, quand elle me regardait je l’observer, j’observer son doux visage… Pas de lunette ? Elle était bien 100 fois plus jolie sans… Ce qui m’a pus faire remarquer quelle devait être d’origine Indienne, mais sans certitude, et pourquoi une fille comme ça, viendrais ici ? Dans un Empire comme ça ? Sans m’en apercevoir elle avait déjà enlevé mon manteau, un lourd manteau ayant des chaines de fer dedans le faisant peser bien cinq-six kilogramme d’origine et son poids surement augmenter par la pluie… Toutes mes habits pèsent cinq kilogramme minimum… Cela dû à ma capacité musculaire, je peux tous porter jusqu'à que trentaine de tonnes, si ce n’est plus… mais malheureusement cette capacité musculaire ne me fait pas taper aussi fort, je tape juste un peu plus fort qu’un humain développer musculairement… Même si mes muscles ne sont pas dessiner comme ses hommes qui ne peuvent plus bouger correctement, des bras avec juste une forme, ni trop gros, ni trop petit, et façonner avec la forme de mon corps…

« Je me nomme Yu’mikor DevilsCry…
- Yu’mikor...»
Ah, ça y est, elle commençait à vraiment y voire trouble. Cette fois, tout trouble. Où avait-elle posé ses lunettes déjà? De toutes façon, même si elle le savait, elle aurait du mal à les retrouver. La jeune femme relâcha sa petite tête blonde, et partit lentement vers ce qu'elle pensait être le canapé, et le loupa. Un petit cri aiguë s'échappa de sa bouche quand elle atterrit brutalement les fesses au sol. Ça ne lui avait pas fait mal, enfin, légèrement vu qu'elle s'était laissée tomber, mais c'était plus de la surprise. Elle se hissa sur le canapé, et commença à tâter le lit. Puis, le sol. Aucun des deux côtés. Et c'est là qu'elle se rappela que ses meilleures amies devaient encore dans la salle de bain. Elle se releva avec un soupir, et s'y dirigea avec précautions. Ses fesses avaient déjà eu un avant-goût de la vision surpuissante qu'elle avait, nul besoin qu'une autre partie de son corps n'en fasse les frais!

Kali reprit ses lunettes, et retourna dans le salon, contente d'y revoir enfin clair. Elle retourna derrière lui, passant de nouveau sa main sur son front.
« Ta fièvre commence à n'être qu'un mauvais souvenir »
Elle y laissa sa main, et lui reprit sa tête:
« D'où est-ce que tu viens? Et au fait, qu'est-ce qu'un militaire faisait en plein cœur de la ville?»

« Ta fièvre commence à n'être qu'un mauvais souvenir »

« Je le ressent… mais je suis fatigué… Il faut que je dorme… »

« D'où est-ce que tu viens? Et au fait, qu'est-ce qu'un militaire faisait en plein cœur de la ville?»

« Je ne sais pas d’où je suis, je sais juste qu’on ma élevé ici… Je revenais du poste de police après avoir appréhender un criminel… Pourquoi avoir remis vos lunettes ? »

Sans lunette elle avait un beau et doux visage, mais malheureusement quand elle les mettait sa enlever cette grande beauté, peut être qu’avec les cheveux détacher sa augmenterai sa beauté avec les lunettes… Mais elle préfère les attacher…

« Puis-je dormir ? »

Je lui demandé si je pourvois dormir un peut, je ne suis pas en forme et je pêne à tenir et je suis ampli d’une grosse fatigue, pas en forme… Demain l’on pourra mieux discuter….

« Je ne sais pas d’où je suis, je sais juste qu’on ma élevé ici… Je revenais du poste de police après avoir appréhender un criminel… Pourquoi avoir remis vos lunettes?
- Oh~ d'accord. Hé bien, je ne vois pas sans elle. J'ai pu discerner la couleur de vos yeux, mais c'est devenu tout flou après, comme d'habitude.»
En l'écoutant parler, elle finit par enlever la serviette dans ses cheveux, et les tressa pour la nuit. Elle fut quand même surprise qu'il lui demanda la permission de dormir, alors se leva du canapé, et commença les draps. Elle s'excusa, et lui dit qu'elle n'avait que ça à lui offrir. Ou son lit s'il préférait. Elle finissait de les changer, et après tout, c'est vrai qu'ils avaient tous deux besoin de sommeil! Elle se frotta les yeux, et partit se coucher. Elle n'eut aucun besoin d'attendre très longtemps, et il aurait pu mettre de la musique aussi barbare soit-elle, rien n'aurait pu la réveiller. À part la lumière. Elle serrait faiblement son coussin d'une main, ne prenant qu'une infime place sur le côté. De quoi rêvait-elle? Elle ne le savait pas elle-même, et cela n'avait pas grande importance.

Le lendemain matin, elle se réveilla avec quelques difficultés. Elle se redressa un peu, et s'étira. Elle tournait la tête sur les côtés, comme si elle y verrait quelque chose. Elle cherchait à nouveau ses lunettes, du bout des doigts.

Elle prépara les draps sur le canapé pour que je puisse dormir convenablement, c’étais déjà énorme qu’elle le fasse, même le sol aurais suffit. Après quelques instants je fus sur le canapé et je fermis les yeux… Le sommeille me toucha de plein fouet ce qui me fit ronflé avec un bruit assez imposant…

De quoi rêvais-je… Je ne m’en rappelle plus trop, je sais juste qu’il était différents du rêve entremêler qui passa avant ou elle me réveilla, tous ce qui m’est interdit au sein de l’armer y passe, tous ce que je n’ai pas le droit passe en boucle, tous c que je rêve de faire sans même le vouloir… Un inconscient me montrant tous de ce quoi je veux faire…

Puis… Un rêve… Un rêve que je me rappelle parfaitement bien, le rêve juste avant que je me lève… Faisant passer dans une pièce humide mon plaisir charnel avec une femme, une femme que je dois avoir déjà vus… La M.S.P du poste de police surement… Surement cette mercenaire, je rêve d’elle avec moi faisant l’amour toute la nuit, mais pourquoi elle ? Je n’ai fait que la voir un instant de quelques minutes… Même si j’admets elle est très attirante… Mais je sais que ce n’est qu’un rêve vus que je n’ai jamais connu ce plaisir…

Le matin… Peut être dix voir onze heure du matin, es yeux s’ouvres, je reste ou je suis… j’ai dormi habillé… Je n’aime vraiment pas ça… Ou suis-je ? A oui, chez ma maitresse… Ou est-elle ? J’observe la pièce… C’est assez jolie, mais petit…

Une fois ses lunettes sur le nez, Kali se leva, et partit dans la cuisine. La tête encore dans le flou, elle était encore plus maladroite que la normale, alors disons que quand elle faisait quelque chose...elle prenait tout son temps. Tellement qu'elle ne remarqua Yu’mikor qu'en repassant une deuxième fois par le salon. Elle le regarda, encore couché, et repartit dans la cuisine. Elle s'arrêta à nouveau, et retourna pour la troisième fois dans le salon. Ça la perturbait un peu, mais son "un peu" chez elle avait différentes valeurs...
« Bien dormi? Je ferai le repas du midi dans pas longtemps.»

Encore déstabilisée et perdue par sa présence, elle lui proposa d'aller se laver en attendant. Elle pensait que ça lui permettrait de mettre un peu d'ordre dans le salon. Elle se dirigea vers sa veste, et la toucha. Encore un peu humide, elle la porta et l'étendit sur le balcon. Avec le temps qu'il faisait, autant en profiter! C'était presque à se demander s'il avait plu la veille au soir, mais elle s'en voulait un peu de ne pas s'être levée plus tôt. La jeune indienne avait loupé l'odeur de l'après pluie au matin. Elle resta un peu sur le balcon, en regardant l'horizon. C'est vrai que c'était différent de là où elle venait. Il n'y avait pas autant de bâtiments de partout, les grands magasins étaient uniquement dans la capitale et puis, la campagne était quand même bien loin... La jeune femme vit alors quelque chose tomber devant elle, et baissa brusquement la tête. Mauvais réflexe. Ses lunettes suivirent le mouvement, tombant dans le grand vide. Elle n'eut que le temps d'essayer de les rattraper, et les regarda tomber, s'écraser au sol. Enfin, regarder...elle ne les différencier même pas du sol. Bon... ça ferait au moins le bonheur de son opticien. Au moins quelqu'un que ça pouvait arranger. Elle recula lentement du rebord, et s'aida de ses mains pour éviter de se recevoir quelque chose en pleine poire telle qu'une vitre, ou un volet. Ses pieds, eux, ne quittaient que très légèrement le sol, tâtant d'abord ce qu'il y avait devant, et dessous. Elle arriva indemne près du canapé, et s'y assit. De toutes façons, elle pouvait pratiquement plus rien faire alors quitte à ne rien faire, autant s'asseoir ou s'allonger.
La seule chose qui lui restait à faire était d'attendre son M.S.P.. Enfin, "son" avec du mal avec la possession.

Kali me proposa d’aller me doucher. En acceptant son offre je me dirigeais un peut perdu vers sa salle de bain… Un peu perdu car je ne sais pas ou elle est, je ne sais point ou aller…

Après un bon petit moment, et ou je trouvai enfin la salle de bain j’entrais dedans tous en fermant soigneusement la porte derrière moi. C’étais une adorable petite sale de bain, bien différente de la grande que j’eus dans la caserne… Une grande salle bain touchant le neutre en ses couleurs mais la puissance en sa forme… Montrant à a fois une supériorité comme une infériorité… Tout à fait du militaire me dites-vous…
Tout doucement je me déshabillais, enlevant mon haut, mon pantalon, les pliants e rangeant dans un coin de la pièce…J’enlever mon boxer et mes chaussettes aussi... Et en y réfléchissant bien je finirais ma journée sans sous-vêtement, car je n’en ai pas de rechange sur moi …

Entrant sous la douche j’allumais l’eau chaude et commencèrent a me laver doucement et soigneusement… Après une bonne quinzaine de minute j’en sors et me sèche avec une serviette trouvais qui pendait par là… Et mes vêtements ? Ils sont sale comment vais-je faire ?

Je sors de la salle de bain en direction d’Appi’, et en la regardant en lui souriant….

« Je suis désolé de vous demandais ça mais… N’avez-vous pas des habits pour moi ? enfin un pantalon est un T-shirt ? Je ne peux remettre mes habits actuellement au risque de retomber malade et ne pouvant plus être d’une utilité qui vous serez propres. »

Kali s'était tournée face au mur, tournant le dos au couloir. Ce n'est que lorsqu'elle entendit la porte de la salle de bain s'ouvrir qu'elle se tourna face au balcon, se mettant de profil au couloir. C'était déjà mieux que de lui tourner complètement le dos. Il lui parlait? Elle tourna la tête, ne voyant qu'une sorte de silhouette beige.
« Heu...je dois avoir un sweat rouge un peu plus grand que votre taille dans ma commode, et pour le pantalon...»
Elle se leva, se dirigeant vers sa chambre. Après avoir rencontré une chaise, après avoir fait connaissance avec une poignet de porte, elle y arriva enfin. Elle lui indiqua les tiroirs où fouiller, et partit dans la salle de bain. Faisant tomber des boites de médicaments et cotons tiges dans le lavabo ou au sol. Elle fit tomber une bouteille de sirop qui se brisa, et ne s'en souciait guère. La seule chose qui importait était qu'elle trouve ses lentilles de contact. Elles n'étaient visiblement pas là, ou plus là, et le sol était devenu tout collant, accompagné par ses bouts de verre. Prise de panique, elle recommençait à fouiller de plus belle. Elle s'en prenait cette fois à l'armoire de toilettes. Produits d'hygiènes et de beautés se retrouvaient au sol, sans qu'elle ait pu trouver ce qu'elle cherchait. Complètement désespérée, elle se laissa tomber au sol et commençais à pleurer. ¤J'y vois rien, je sers à rien! Comment est-ce qu'il peut vouloir de moi comme maîtresse?¤, et resta ainsi à pleurer en silence. Il ne lui était même pas venu à l'esprit de lui demander de l'aide avant. Non. Et puis, on ne l'aidait pas, c'était elle qui le faisait. Elle n'avait même pas remarqué qu'elle avait marché sur plusieurs morceaux de verres.

J’entendis des bruits par-ci par là… J’attendais en espérant ne pas attraper froids alors que je suis complètement nue… Puis après un moment j’allais dans la sale de bain rejoindre ma maitresse…
Elle était assise au sol, étant apparemment en mauvaise êtas, mais juste quelques blessures superficielles et pleuré silencieusement…

« …… »

Je la pris dans mes bras, la portant comme une princesse je l’emmenais dans sa chambre et soignèrent ses blessures, puis je la regardais restant assis sur le bord du lit toujours complètement nue…

« Vous n’allez pas bien ? »

Je repensais a mon passez en la regardais, n’ayant jamais connu vraiment de fille, de femmes dans ma vie, même pas une mère… Juste les criminels de sexe féminin, quelques officier, ou autres… des personnes que l’on voyait comme ça… Rien de plus rien de moins…

« … Je suis désolé… Je vous dérange peut être… Je vous en aie demandé trop… Je suis sincèrement désolé… »

Je baissai ma tête comme si j’avais Honte, une grande honte et une très grande tristesse… Je lui en avais déjà demandé beaucoup, beaucoup trop même… Comment pourrais-je être un bon M.S.P si je lui demande déjà beaucoup trop, je devrais restais nue et ne plus rien lui demandais… Sa serais mieux pour elle…

Surprise par sa venue, elle s'empressa de sécher ses larmes quand elle entendit ses pas se rapprochaient d'elle. Mais la jeune femme l'était encore plus quand il la porta, protestant un peu. Elle se contenta d'un « Tu n'as pas cherché?» quand il la déposa sur le lit. Elle pensa qu'il avait dû garder sa serviette sur lui, mais se demanda pourquoi il n'avait pas pris d'habits. Elle se contenta de soupirer à sa question, se trouvant vraiment stupide. Il n'y avait que les enfants qui pleuraient pour une paire de lunettes cassées, pas les adultes. Elle se contentait toujours de le regarder, même s'il était flou, même si parfois il se confondait avec la commode. Ah non..c'était réellement la commode, si elle devait croire ses pieds. Baissant sa tête, elle n'aperçut aucune différence de couleur. Il n'était pas réellement nu, ça devait encore sa vue qui se jouait d'elle.

«… Je suis désolé… Je vous dérange peut-être… Je vous en aie demandé trop… Je suis sincèrement désolé…»
Kali se contenta poser sa main sur ses cheveux, oubliant que ça ne devait avoir aucun sens dans ce pays. Elle se releva, et partit vers la commode, l'ayant regardé pendant un long moment, elle n'avait pas eu trop de mal. Elle faisait glisser ses mains sur chacun des tiroirs pour les compter, puis remonta une main vers le deuxième. Elle l'ouvra, prit son sweat rouge qu'elle voyait plutôt comme une boule de Noël, et le lui tendit. Elle referma ce tiroir, et ouvrit celui du dessous, le troisième.
« Là par contre, je ne sais lequel vous donnez. Et je n'ai aucun sous-vêtements pour vous...désolée...»
Elle s'en écarta pour qu'il puisse en prendre un, et sortit de la chambre. Elle le laissa bien pendant dix minutes/un quart d'heure, avant de l'appeler.
« Je vais avoir besoin de votre aide pour aller à la buanderie. J'en profiterai pour laver vos affaires», dit-elle avec sourire.

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